Christophe Boeckler est un père motivé pour accompagner son fils Romain Boeckler dans le monde du sport automobile. Ayant pratiqué la moto en compétition, Christophe qui est également passionné de mécanique connaît l’ambiance de ce sport bien que ce ne soit pas totalement la même entre l’auto et la moto. Romain Boeckler, âgé de 16 ans est entré en formule 4 Académie pour la saison 2018 et poursuit son année 2019 en 308 Racing Cup. Ce jeune pilote a commencé le karting en loisir à 8 ans et est monté dans son premier kart de compétition à 13 ans.
Soutenu par son père et maître de ses propres décisions, Romain commence le kart de compétition. Ses années de karting se sont résumés à des hauts et des bas. En effet, Christophe et Romain ont choisi de travailler à deux, main dans la main en restant soudés. Le père et le fils ont préféré se débrouiller avec leurs propres moyens, en progressant à leur rythme. Christophe a confié : « parfois nous étions constamment confrontés à l’échec et c’est ce qui nous faisait progresser tous les deux. À nos débuts ce fut la découverte, nous avons passé beaucoup d’heures à appréhender les différents apprentissages, nous avons toujours cherché à comprendre et grandir de nos erreurs. Notre méthode est longue, mais à deux, nous sommes plus forts. Nous y arriverons. ». Durant les années de kart du jeune homme, Christophe était mécano, entraîneur et papa du pilote. Cependant Christophe avait bien en tête de ne pas mélanger le côté paternel et le côté compétitif qu’il fallait gérer quand il était coach.Soutenu par son père et maître de ses propres décisions, Romain commence le kart de compétition. Ses années de karting se sont résumés à des hauts et des bas. En effet, Christophe et Romain ont choisi de travailler à deux, main dans la main en restant soudés. Le père et le fils ont préféré se débrouiller avec leurs propres moyens, en progressant à leur rythme. Christophe a confié : « parfois nous étions constamment confrontés à l’échec et c’est ce qui nous faisait progresser tous les deux. À nos débuts ce fut la découverte, nous avons passé beaucoup d’heures à appréhender les différents apprentissages, nous avons toujours cherché à comprendre et grandir de nos erreurs. Notre méthode est longue, mais à deux, nous sommes plus forts. Nous y arriverons. ». Durant les années de kart du jeune homme, Christophe était mécano, entraîneur et papa du pilote. Cependant Christophe avait bien en tête de ne pas mélanger le côté paternel et le côté compétitif qu’il fallait gérer quand il était coach.
Humainement le sport automobile rapproche les deux hommes de façon presque fusionnelle. Christophe a voulu nous partager son point de vue à ce sujet : « Romain est mon fils avant tout mais il faut garder la tête froide tout en le soutenant. Il ne faut pas oublier que c’est une compétition et c’est pour cela que sur la piste je me force à analyser le contexte. Il faut faire la part des choses. Par exemple, il n’est pas évident de distinguer, lors d’un accrochage, si c’est son fils qui est en tort ou un autre pilote. Savoir gérer ses émotions après un incident ou un abandon n’est pas facile. Sur les circuits, je m’évalue d’abord en manager et j’oublie le côté paternel. »
Financièrement, le sport automobile est un gouffre. Gérer les partenaires, être professionnel, faire les bons choix fait partie du travail de Christophe. Prendre des décisions et rester actif à long terme sur les réseaux sociaux permet une meilleure visibilité pour son fils. Christophe met toute son énergie dans cette partie « extrasportive », gage pour Romain de réussir à poursuivre sa carrière de pilote.D’après Romain « l’alchimie qu’il y a entre mon père et moi me motive. Nous sommes plus performants à deux. J’ai plus confiance en mon père qu’en d’autres professionnels. Lui seul me connaît parfaitement bien donc c’est un bon encadrement. »
Christophe en tire une bonne expérience malgré tout le travail qu’il faut fournir.« C’est une joie de travailler pour son fils, on rigole bien ensemble, on progresse et on apprend tous les deux, l’histoire de mon fils et aussi la mienne. Ce travail est une façon de lui prouver que je l’aime. ».